59
51
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “[...] sacrifie, devant nos yeux, son identité en nous représentant tous,
offrant à notre cruauté son corps et son honneur.” RANSON-ENGUIALE, Valérie. In. Le cirque et les arts.
2002, p.12
52
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “[...] l’ivresse de la relativité des choses humaines, le plaisir étrange
de la certitude qu’il n’y a pas de certitude. Ce rire […] est profondément ambigu.” MINOIS, opus cit., p.247
53
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “Au-delà de la bouffonnerie de surface [...] [si nous prenons] le parti
d’en rire, c’est parce qu’il ne servirait à rien d’en pleurer.” Ibid., p. 247
54
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “[...] le rire du soulagement, qui ruine les efforts terroristes de la
pastorale officielle; c’est la divine surprise, le relâchement brutal de tension, dans lequel les analystes voient
une des sources principales du rire. Il exorcise la peur, sans nier l’existence de l’enfer. [...] Le rire apparaît
comme l’arme suprême pour surmonter la peur. Qui rit de l’enfer peut rire de tout.” MINOIS, opus cit., p. 249
55
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “Rire, pleurer: la différence est plus mince qu’on ne croit, comme
l’avait déjà dit Rabelais. Souvent, nous pleurons et rions d’une même chose’”. MINOIS, opus cit., p. 250
56
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “Ambivalence du réel et l’ambivalence du rire.” Ibidem, p. 255
57
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “Le rire n’est pas qu’un divertissement, il peut aussi être une
philosophie: c’est là l’une des grandes découvertes de Rabelais [...]” Ibidem, p. 266
58
FELLINI, Federico. Sobre o Clown – Extraído do site http://www.grupotempo.com.br/tex_fellini.html
59
BURNIER, opus cit., p.247
60
Não entraremos na questão sobre a implicação e conceitos do uso da palavra popular, tomaremos a palavra no
sentido de que aquilo que é popular é “Do, ou próprio do povo”. (Michaelis Moderno Dicionário Da Língua
Portuguesa. Ed. Melhoramentos, Ed.109ª, 2002).
61
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “Depuis la pomme l’homme est irrémédiablement maudit, mauvais,
perdu, et chacun exprime à sa façon sa haine de la condition humaine, son désir de la déserter, d’en finir avec
elle: en perdant son identité dans la fusion avec le divin, ou en l’écrasant dans l’infamie sous un rire
diabolique.” MINOIS, opus cit., p. 273
62
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “Le rire grotesque porte sur l’essence même du réel, qui perd sa
consistance. Véritable revanche du diable dans le sens où il pulvérise l’ontologie, il désintègre la création
divine, réduite à l’état d’illusion.” Ibidem, p. 81
63
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “La perversion et la transgression des lois naturelles peuvent faire
rire, mais du rire du diable, qui se plaît à tout brouiller pour notre plus grande confusion; et ce rire [...] fait
peur...” Ibidem, p. 82.
64
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “[...] et devenu la caractéristique essentielle de la culture populaire,
qui a évolué dehors de la sphère officielle, ‘et c’est grâce à cette existence extra-officielle que la culture du rire
s’est distinguée par son radicalisme et sa liberté exceptionnels, par son impitoyable lucidité’.” MINOIS, opus
cit., p.136.
65
Tradução de Christine Nicole Zonzon : “Derrière son masque se cache une autre figure, celle du terrible
Hellequin qui, au Moyen Âge, conduisait la troupe des spectres qui hantaient les vivants une fois l’an, les jours
de carnaval. Ces déchaînements païens commençaient un soir pour se terminer la nuit suivante par un bûcher
expiratoire. Aussi, quand le Blanc dialogue à “bâtons rompus” avec l’Auguste, il interprète les liturgies
libératoires des anciens carnavals” GOURARIER, Zeev. Le cirque et les arts,
2002, p.8
66
Tradução de Christine Nicole Zonzon: “[...] une transposition dans le registre grotesque de l’immortalité
historique du peuple[ ;] la vision comique du monde devient ainsi le moyen par lequel la culture populaire
affirme son caractère indestructible et triomphant.” MINOIS, opus cit., p. 246